Délocalisations des services : "Au secours ! Ils sont devenus fous !"
Jeu 20 Déc - 21:16
DÉLOCALISATIONS DE SERVICES (MAROC) et CONTRAT DE PROJET (NÉGOS EMPLOI) : LES SALARIÉS TRAHIS PAR LE GOUVERNEMENT et LES SYNDICATS !
(1) Au Maroc, la France soutient financièrement les délocalisations de services (offshoring)…
(2) Au Medef, les syndicats négocient la précarité (contrat de projet) au nom de la « sécuris-ation de l’emploi »…
(1) INCROYABLE… MAIS VRAI : la France est en déficit… des mesures d’austérité (notamment budgétaire) sont imposées à tous… le chômage progresse fortement dans notre pays y compris dans l’informatique… le redressement industriel et la relocalisation des emplois sont censés être des priorités… mais notre 1er ministre J.M. AYRAULT en visite au Maroc, accompagné (entre autres) d’A..MONTEBOURG, n’a pas trouvé mieux que de favoriser le développement de L’OFFSHORING au MAROC, IE. LES DELOCALISATIONS D’EMPLOIS DANS LES CENTRES D’APPEL, LES SERVICES INFORMATIQUES ET LES PROCESSUS METIERS !!!
Ces externalisations d’emplois dans les pays à bas coûts (le plus souvent des emplois qualifiés), qui ne créent strictement aucune richesse et aucun emploi en France, s’inscrivent désormais dans un nouveau concept "gagnant-gagnant" selon le 1er Ministre : la « co-localisation ».
1. J.M. AYRAULT (13.12.2012) : " Un accord a été signé qui est assez particulier parce qu’il développe un concept nouveau qui est le concept de la colocalisation. Et vous savez bien que cette question est sensible en France qui est la question des délocalisations. Et là, je crois qu’il faut voir les choses en face. L’expérience montre que lorsque des entreprises (...) installent ici des usines et fabriquent des éléments d’un processus industriel, ça crée de la valeur ajoutée pour le groupe ici, au Maroc, mais ça crée des emplois pour le Maroc, ça fait vivre aussi des sociétés de services qui concourent à ces entreprises, mais ça crée aussi de la valeur ajoutée en France et ça renforce aussi les capacités du groupe en question à investir dans la recherche et développement. Et donc on est dans une démarche gagnant-gagnant, une démarche en quelque sorte où la coproduction industrielle bénéficie aux deux pays"
2. La première application de ce nouveau concept est un prêt considérable de 100 millions d’euros octroyé par l’Agence Française de Développement (Ministère des Affaires étrangères) au secteur marocain… de l’offshoring (Casanearshore) !!!
A noter que la convention (non rendue publique à ce jour) pour mettre en œuvre ce nouveau concept de la colocalisation a été également signée par les ministres Nicole BRICQ et surtout…Arnaud MONTEBOURG, le chantre du patriotisme économique qui, il y a encore quelques jours, exhortait l’Europe à mieux protéger son industrie et surtout, il y a quelques mois, voulait rapatrier en France les centres d’appel des opérateurs télécoms !!!
Pour le MUNCI, une seule question se pose désormais : le Premier Ministre et le Ministre du Redres-sement Productif ont-ils… perdu la raison ou bien, plus probablement, ont-ils été manipulés ???
En réalité, et en toute irrationalité, ce n’est pas la première fois que le Gouvernement et les pouvoirs publics défendent implicitement ou explicitement l’offshoring…
A LIRE NOTRE ARTICLE COMPLET : http://munci.org/article2019.html
(2) NÉGOCIATIONS SUR L’EMPLOI : le CONTRAT DE PROJET et le CONTRAT INTERMITTENT risquent d’engendrer une PRÉCARITÉ MAXIMUM pour les SALARIÉS et une CONCURRENCE DÉLOYALE pour les PROFESSIONNELS AUTONOMES !
Les dernières séances de négociation sur la "sécurisation flexibilité de l'emploi" sont prévues les 19 et 20 décembre. Trois syndicats - la CFDT, la CFE-CGC et la CFTC - sont sur le point de valider deux propositions de dernière minute (…) du MEDEF : une extension du contrat de travail intermittent aux entreprises de -50 salariés et surtout la création d'un "contrat de projet à durée indéterminée", ce vieux « serpent de mer » du patronat jusqu'ici toujours rejeté par les syndicats de salariés.
Les maigres compensations offertes en retour par le patronat sont sans commune mesure avec la précarité maximum qui concernera potentiellement des MILLIONS DE SALARIES TRAVAILLANT EN MODE PROJET (tels que les prestataires de services), sans compter la concurrence abusive que ces contrats engendreront vis à vis des centaines de milliers de PROFESSIONNELS AUTONOMES (indépendants, portage salarial) qui eux ont fait le choix d'une flexibilité assumée en contrepartie de revenus nettement plus élevés en période d'activité.
Par esprit de compromission, certains syndicats vont-ils "sacrifier" de nombreux travailleurs pour tenter d'obtenir un accord "équilibré" avec le patronat ?
L'organisation du travail s’effectue de plus en plus en mode projet pour des millions de salariés. Parallèlement, un nombre croissant d'emplois sont externalisés chez des sous-traitants, ou prestataires de services, sous forme de missions correspondant à des contrats commerciaux.
Ceci est tout particulièrement vrai dans notre Branche des Bureaux d'études techniques, dite Branche Syntec-Cinov (Convention collective N°3018) qui est devenue la première Branche professionnelle en France en nombre de salariés.
Qu'adviendra-t-il si nos sociétés de service - ou plus directement les donneurs d’ordres - décident d'embaucher au moyen de ces contrats plutôt qu'en CDI (ou plutôt que de faire appel à des prestataires de services en CDI) ?
De tels contrats pourraient développer fortement la précarité dans de nombreux métiers en faisant coïncider le contrat de travail avec le contrat commercial ou avec tout type de projet interne à l'entreprise…
De surcroît, ces contrats vont engendrer des inégalités faramineuses entre salariés selon les secteurs et les types de projets qui seront ou non éligibles, comme c’est d’ailleurs le cas avec le CDD-OD (exemple : accord de Branche dans la Banque), contrat expérimental (beaucoup plus encadré) prévu pour 5 ans qui n’a fait l’objet d’aucun suivi et d’aucun rapport contrairement à ce que prévoyait la loi de 2008 portant modernisation du marché du travail (article 6).
Les partenaires sociaux vont-ils faire le choix d’élargir encore plus le fossé qui sépare les salariés à l'emploi relativement stable (grandes entreprises) avec tous les autres salariés - précaires et prestataires – chargés d'absorber les chocs de la conjoncture, telles des variables d’ajustement sur lesquels est reportée toute la flexibilité ?
Enfin, ces contrats précaires se superposent abusivement à l'activité des professionnels autonomes, tels que les travailleurs en portage salarial (un système choisi par un nombre croissant d’informaticiens).
Mais à la différence des salariés, les indépendants ont fait, eux, le choix de cette flexibilité en contrepartie de revenus nettement plus élevés en période d’activité et d'une maîtrise d'œuvre autonome des projets clients.
Ceux-ci seront confrontés à une concurrence déloyale par ces nouveaux salariés en contrats précaires, contrats devenus beaucoup plus profitables à des sociétés ayant écarté par la même occasion tout partage des risques...
Pour le MUNCI, il n’y aucune raison d’accroître exagérément la flexibilité sur le marché du travail en raison des (nouveaux) outils offerts à nos employeurs : rupture conventionnelle, prêt de main d’œuvre à but non lucratif, chômage partiel…etc, lorsque la croissance était au rendez-vous pendant les années 1997-2001, personne ne réclamait plus de flexibilité : faut-il sans cesse réécrire le droit du travail en fonction de la conjoncture ?
En conclusion, le MUNCI entend combattre radicalement cette nouvelle flexibilité dans nos professions (…) et met en garde les syndicats de salariés contre un détournement durable des travailleurs à leur égard…
A LIRE NOTRE ARTICLE COMPLET : http://munci.org/article2025.html
MUNCI
Fondée en 2003, le MUNCI est l’association professionnelle qui fédère en France les membres salariés, indépendants et demandeurs d’emploi des professions informatique, web et télécoms, plus généralement des métiers du numérique.
Rassemblant 2500 membres, le MUNCI est la 2eme association du numérique en France en nombre d'adhérents et la 1ere sur le plan strictement professionnel.
Le MUNCI se mobilise pour l’emploi dans le numérique (chômage, conditions de travail, salaires, GRH, RSE…) en publiant régulièrement sur son site des dossiers (ex. observatoires de la profession), des infos et des prises de position en faveur de nos professions (sujets socioprofessionnels, économiques, règlementaires…).
Le MUNCI apporte à ses membres des moyens d’information et d’échanges sur nos métiers, le monde du travail et nos entreprises (études et dossiers : marché du travail informatique, évaluation des sociétés IT, salaires des informaticiens…).
Dans la Branche SYNTEC-CINOV (prestations intellectuelles), et plus précisément dans les services informatiques (SSII, éditeurs de logiciel, conseil en technologie…), le MUNCI est partenaire de deux syndicats représentatifs :
. le SPECIS affilié à l’UNSA (4eme confédération syndicale de France) pour les salariés,
. la CINOV-IT affiliée à la Fédération CINOV (CGPME) pour les petites entreprises (indépendants, TPE, PME).
Seul ou en synergie avec eux, le MUNCI intervient fréquemment dans la presse, auprès des institutions et des pouvoirs publics pour défendre les intérêts de nos professions.
PRÉSENTATION GÉNÉRALE : http://munci.org/pages/presentation-munci.html | PORTRAIT DE NOS MEMBRES : http://munci.org/stats-membres.php
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Pour tout contact, nous sommes à votre disposition :
par courriel : presse@munci.org | par téléphone : 01 77 62 42 57 (interlocuteur : Régis GRANAROLO, président)
(1) Au Maroc, la France soutient financièrement les délocalisations de services (offshoring)…
(2) Au Medef, les syndicats négocient la précarité (contrat de projet) au nom de la « sécuris-ation de l’emploi »…
(1) INCROYABLE… MAIS VRAI : la France est en déficit… des mesures d’austérité (notamment budgétaire) sont imposées à tous… le chômage progresse fortement dans notre pays y compris dans l’informatique… le redressement industriel et la relocalisation des emplois sont censés être des priorités… mais notre 1er ministre J.M. AYRAULT en visite au Maroc, accompagné (entre autres) d’A..MONTEBOURG, n’a pas trouvé mieux que de favoriser le développement de L’OFFSHORING au MAROC, IE. LES DELOCALISATIONS D’EMPLOIS DANS LES CENTRES D’APPEL, LES SERVICES INFORMATIQUES ET LES PROCESSUS METIERS !!!
Ces externalisations d’emplois dans les pays à bas coûts (le plus souvent des emplois qualifiés), qui ne créent strictement aucune richesse et aucun emploi en France, s’inscrivent désormais dans un nouveau concept "gagnant-gagnant" selon le 1er Ministre : la « co-localisation ».
1. J.M. AYRAULT (13.12.2012) : " Un accord a été signé qui est assez particulier parce qu’il développe un concept nouveau qui est le concept de la colocalisation. Et vous savez bien que cette question est sensible en France qui est la question des délocalisations. Et là, je crois qu’il faut voir les choses en face. L’expérience montre que lorsque des entreprises (...) installent ici des usines et fabriquent des éléments d’un processus industriel, ça crée de la valeur ajoutée pour le groupe ici, au Maroc, mais ça crée des emplois pour le Maroc, ça fait vivre aussi des sociétés de services qui concourent à ces entreprises, mais ça crée aussi de la valeur ajoutée en France et ça renforce aussi les capacités du groupe en question à investir dans la recherche et développement. Et donc on est dans une démarche gagnant-gagnant, une démarche en quelque sorte où la coproduction industrielle bénéficie aux deux pays"
2. La première application de ce nouveau concept est un prêt considérable de 100 millions d’euros octroyé par l’Agence Française de Développement (Ministère des Affaires étrangères) au secteur marocain… de l’offshoring (Casanearshore) !!!
A noter que la convention (non rendue publique à ce jour) pour mettre en œuvre ce nouveau concept de la colocalisation a été également signée par les ministres Nicole BRICQ et surtout…Arnaud MONTEBOURG, le chantre du patriotisme économique qui, il y a encore quelques jours, exhortait l’Europe à mieux protéger son industrie et surtout, il y a quelques mois, voulait rapatrier en France les centres d’appel des opérateurs télécoms !!!
Pour le MUNCI, une seule question se pose désormais : le Premier Ministre et le Ministre du Redres-sement Productif ont-ils… perdu la raison ou bien, plus probablement, ont-ils été manipulés ???
En réalité, et en toute irrationalité, ce n’est pas la première fois que le Gouvernement et les pouvoirs publics défendent implicitement ou explicitement l’offshoring…
A LIRE NOTRE ARTICLE COMPLET : http://munci.org/article2019.html
(2) NÉGOCIATIONS SUR L’EMPLOI : le CONTRAT DE PROJET et le CONTRAT INTERMITTENT risquent d’engendrer une PRÉCARITÉ MAXIMUM pour les SALARIÉS et une CONCURRENCE DÉLOYALE pour les PROFESSIONNELS AUTONOMES !
Les dernières séances de négociation sur la "sécurisation flexibilité de l'emploi" sont prévues les 19 et 20 décembre. Trois syndicats - la CFDT, la CFE-CGC et la CFTC - sont sur le point de valider deux propositions de dernière minute (…) du MEDEF : une extension du contrat de travail intermittent aux entreprises de -50 salariés et surtout la création d'un "contrat de projet à durée indéterminée", ce vieux « serpent de mer » du patronat jusqu'ici toujours rejeté par les syndicats de salariés.
Les maigres compensations offertes en retour par le patronat sont sans commune mesure avec la précarité maximum qui concernera potentiellement des MILLIONS DE SALARIES TRAVAILLANT EN MODE PROJET (tels que les prestataires de services), sans compter la concurrence abusive que ces contrats engendreront vis à vis des centaines de milliers de PROFESSIONNELS AUTONOMES (indépendants, portage salarial) qui eux ont fait le choix d'une flexibilité assumée en contrepartie de revenus nettement plus élevés en période d'activité.
Par esprit de compromission, certains syndicats vont-ils "sacrifier" de nombreux travailleurs pour tenter d'obtenir un accord "équilibré" avec le patronat ?
L'organisation du travail s’effectue de plus en plus en mode projet pour des millions de salariés. Parallèlement, un nombre croissant d'emplois sont externalisés chez des sous-traitants, ou prestataires de services, sous forme de missions correspondant à des contrats commerciaux.
Ceci est tout particulièrement vrai dans notre Branche des Bureaux d'études techniques, dite Branche Syntec-Cinov (Convention collective N°3018) qui est devenue la première Branche professionnelle en France en nombre de salariés.
Qu'adviendra-t-il si nos sociétés de service - ou plus directement les donneurs d’ordres - décident d'embaucher au moyen de ces contrats plutôt qu'en CDI (ou plutôt que de faire appel à des prestataires de services en CDI) ?
De tels contrats pourraient développer fortement la précarité dans de nombreux métiers en faisant coïncider le contrat de travail avec le contrat commercial ou avec tout type de projet interne à l'entreprise…
De surcroît, ces contrats vont engendrer des inégalités faramineuses entre salariés selon les secteurs et les types de projets qui seront ou non éligibles, comme c’est d’ailleurs le cas avec le CDD-OD (exemple : accord de Branche dans la Banque), contrat expérimental (beaucoup plus encadré) prévu pour 5 ans qui n’a fait l’objet d’aucun suivi et d’aucun rapport contrairement à ce que prévoyait la loi de 2008 portant modernisation du marché du travail (article 6).
Les partenaires sociaux vont-ils faire le choix d’élargir encore plus le fossé qui sépare les salariés à l'emploi relativement stable (grandes entreprises) avec tous les autres salariés - précaires et prestataires – chargés d'absorber les chocs de la conjoncture, telles des variables d’ajustement sur lesquels est reportée toute la flexibilité ?
Enfin, ces contrats précaires se superposent abusivement à l'activité des professionnels autonomes, tels que les travailleurs en portage salarial (un système choisi par un nombre croissant d’informaticiens).
Mais à la différence des salariés, les indépendants ont fait, eux, le choix de cette flexibilité en contrepartie de revenus nettement plus élevés en période d’activité et d'une maîtrise d'œuvre autonome des projets clients.
Ceux-ci seront confrontés à une concurrence déloyale par ces nouveaux salariés en contrats précaires, contrats devenus beaucoup plus profitables à des sociétés ayant écarté par la même occasion tout partage des risques...
Pour le MUNCI, il n’y aucune raison d’accroître exagérément la flexibilité sur le marché du travail en raison des (nouveaux) outils offerts à nos employeurs : rupture conventionnelle, prêt de main d’œuvre à but non lucratif, chômage partiel…etc, lorsque la croissance était au rendez-vous pendant les années 1997-2001, personne ne réclamait plus de flexibilité : faut-il sans cesse réécrire le droit du travail en fonction de la conjoncture ?
En conclusion, le MUNCI entend combattre radicalement cette nouvelle flexibilité dans nos professions (…) et met en garde les syndicats de salariés contre un détournement durable des travailleurs à leur égard…
A LIRE NOTRE ARTICLE COMPLET : http://munci.org/article2025.html
MUNCI
Fondée en 2003, le MUNCI est l’association professionnelle qui fédère en France les membres salariés, indépendants et demandeurs d’emploi des professions informatique, web et télécoms, plus généralement des métiers du numérique.
Rassemblant 2500 membres, le MUNCI est la 2eme association du numérique en France en nombre d'adhérents et la 1ere sur le plan strictement professionnel.
Le MUNCI se mobilise pour l’emploi dans le numérique (chômage, conditions de travail, salaires, GRH, RSE…) en publiant régulièrement sur son site des dossiers (ex. observatoires de la profession), des infos et des prises de position en faveur de nos professions (sujets socioprofessionnels, économiques, règlementaires…).
Le MUNCI apporte à ses membres des moyens d’information et d’échanges sur nos métiers, le monde du travail et nos entreprises (études et dossiers : marché du travail informatique, évaluation des sociétés IT, salaires des informaticiens…).
Dans la Branche SYNTEC-CINOV (prestations intellectuelles), et plus précisément dans les services informatiques (SSII, éditeurs de logiciel, conseil en technologie…), le MUNCI est partenaire de deux syndicats représentatifs :
. le SPECIS affilié à l’UNSA (4eme confédération syndicale de France) pour les salariés,
. la CINOV-IT affiliée à la Fédération CINOV (CGPME) pour les petites entreprises (indépendants, TPE, PME).
Seul ou en synergie avec eux, le MUNCI intervient fréquemment dans la presse, auprès des institutions et des pouvoirs publics pour défendre les intérêts de nos professions.
PRÉSENTATION GÉNÉRALE : http://munci.org/pages/presentation-munci.html | PORTRAIT DE NOS MEMBRES : http://munci.org/stats-membres.php
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